De John Brunner.
1974. Format poche 256 pages.
A dix-neuf années-lumière de la Terre, sur Sigma Draconis, une expédition interstellaire terrienne avait découvers pour la première fois les traces d'une civilisation étrangère avancée.
Ces traces étaient vielles de cent mille ans.
Ce qui était beaucoup plus étrange, c'était qu'entre l'apparition de l'intelligence sur ce monde et la disparition de l'intelligence sur ce monde et la disparition définitive de cette civillisation, il ne s'était écoulé que trois millénaires.
L'ombre d'un instant dans les profondeurs du temps.
Qu'est-ce qui avait tué les crabes intelligents de Sigma du Dragon ?
Un criminel cosmique menace-t-il la Terre ?
Avis : Un bon bouquin de SF comme on aimerais en voir plus souvent (je ne dis pas que c'est un must mais c'est vraiment sympas à lire). Les explications sont parfois quelque peu complexes pour quelqu'un qui ne connait que dalle en science. Et la liaison entre le héros (Ian Macauley) et sa copine (Cathy je ne sais plus comment) bizarre et pas assez approfondi a mon avis. Par contre, la fin tient debout et on est réellement impressionné par la fin (j'y ai repensé pendant de très longues heures). L'auteur a aussi, à mon avis, une vision malheureusement très réaliste de l'avenir sur Terre.
Extrait : On avait eu raison d'établir la route du Stellaris de façon à ce qu'en émergeant de l'espace-qua, et avant son approche d'atterrissage sur Sigma Draconis III, la lumière de l'étoile locale illumine cet artefact inouï. ceux qui arrivaient ici pour la première fois éprouvaient ainsi un reflet du choc ressenti par les explorateurs qui l'avaient découvert par hasrd en 2020, au cours de ce qui, autrement, aurait certainement été la dernière tentative d'exploration humaine des étoiles - ou, tout au moins, la dernière de tout futur prévisible, étant donné les déceptions de Proxima, Epsilon Eridani et Tau Ceti.
Mais après avoir trouvé cela...!
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Diamètre, 36 km 05. Hauteur moyenne de la paroi, 1 km 190. Epaisseur du mirroir...
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