Cujo

De Stephen King.

1981. Format poche : 380 pages.

"La chaleur tuera cet été ! Ca va être terrible", avait prédit Evvie Chalmers, la doyenne de Castle Rock. Elle ne se trompait pas: l'été 1980 fut effectivement le plus chaud que Castle Rock eût jamais connu. Ce fut aussi un été sanglant.

En fait, tout commença le matin du 16 juin, lorsque Cujo, un saint-bernard aussi impressionnant que débonnaire, se fit mordre par une chauve-souris. Mais au fond, cela avait peut-être commencé dès le mois de mai, lorsque Tad Trenton avait cru voir un monstre, dans le placard de sa chambre...

Bien sûr, ses parents l'avaient rassuré, il avait fait un cauchemar, les monstres n'existent pas, voyons !

Ils se trompaient : même dans les petites villes paisibles, les monstres guettent, tapis dans l'ombre...

 

Avis : Déjà, même pas commencé, je le sentais mal ce putain de bouquin de m.... (oh, oh, il faut que je me calme) car un copain m'avait dit qu'il n'avait pas aimé et pour que lui n'aime pas beaucoup un livre et ben il faut le faire. Ensuite, la couverture, super, elle raconte déjà la fin : génial le suspense. De plus avec des graphismes que même moi je pourrais faire (enfin presque), c'est dire. En commençant le bouquin, je me suis dit que le chien pouvait être mutant (et avoir deux têtes et 5,4 pattes (Eh, ça pourrais être marrant sans dec') mais que dalle il n'a que la rage ce couillon de chien (au fait ce putain de chien s'appelle Cujo (parce qu'il est pas con le King il a appellé son livre par le nom du chien (il fallait y penser (faudrait que j'arrête les parenthèses (parce que ça fait beaucoup quatre (tu trouves pas (si, ah merci))))). L'histoire se déroule presque uniquement dans la tire de la bonne femme et question originalité des décors c'est un tout petit limité mais c'est King et on a l'habitude de lire 20 pages qui pourrait être traité en 2 ou 3 (je parie que si Douglas Adams devait réécrire ce livre il n'en aurait que pour grosso modo, à vu de nez, environ, à peu près (je suis à cours car j'ai peu de vocabulaire (please Mail)) 100 pages (sans éxagerer). Mais n'allais pas croire que je n'aime pas King : j'ai lu tous ses bouquins et sans doute mon écrivain préféré mais je trouve que celui ci bat tous les records dans la nulité. Seul point fort que j'ai trouvé dans ce bouquin : il fait parti de la série de romans monté par King qui se passe à Castle Rock. Et on parle dès la premier page de l'assassin qui fut découvert par John Smith dans Dead Zone.

 

Extrait : Le chien avec qui il avait grandi, qui avait poussé avec tant de patience la petite voiture frabriquée par Joe (c'est le nom du père N.D.S. (ça veut dire Note De Sly Thfff....)) d'un Brett (c'est le nom de son gosse (Pour nos amis quebequois, ici gosse ne veut pas dire "les mecs en ont deux, comme papa, mais ce ne sont pas des jumeaux" (citation de guide du routard) mais veut dire enfant) N.D.S.) triomphant et joyeux alors âgé de cinq ans, le chien qui l'attendait tous les jours, qu'il vente ou qu'il neige, près de la boîte aux lettres pendant l'année scolaire... ce chien n'avait que peu de ressemblance avec l'apparition boueuse et hirsute qui se matéralisait lentement dans la brume matinale. Les grands yeux tristes du saint-bernard apparraissaient maintenant rouges, rétrécis et dunés d'intelligence : plus semblables à des yeux de porc qu'à ceux d'un chien. Son pelage était maculé d'une boue verdâtre comme s'il s'était roulé dans les marécages situés au bout de la prairie. Son museau était retroussé en un terrible rictus qui fit frémir l'enfant d'horreur. Brett (alors c'est qui Brett ? le gosse ... good, tu as bien suivis N.D.S.) eut l'impression que son coeur tentait de se frayer un passage dans sa gorge.

Une écume blanche et compacte s'écoulait lentement de la gueule du chien.

-Cujo ? (Ca, c'est le nom de ce très méchant chien chien pas joli et pu et même que je ne l'aime pas parce qu'il mord et qu'il fait peur N.D.S.) souffla Brett. Cujo ?

Sans deconner, il est trop balaise King, moi je suis mort de trouille quand je lis ça, si je le relis je paris que je vais me mettre à pleurer tellement que c'est impressionnant.

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